Une histoire depuis 4 générations

Depuis 1947, QUATRE générations se succèdent à la boucherie familiale

Tout a débuté avec Claude Rouquier le père de mamie Mimi, qui devient boucher en 1938. Il ouvrira sa première boucherie en 1947 rue Casimir Peret avec sa femme Margot. Mamie y travaillera dés son plus jeune âge. Elle est l’aînée de deux soeurs et à l’époque les aînées n’avaient pas la vie facile. Marie Thérèse rencontre Roland Reverdel en 1956, et devient Me Reverdel en 1957. De leur union naissent les jumeaux Catherine et Philippe. Le jeune couple prend la succession de la boucherie et va même en ouvrir plusieurs pour déposer finalement leurs valises et leurs couteaux, Avenue Foch en 1975.

Notre grand père Roland est un vaillant : boucher d’exception, maquignon de renom, formateur émérite et président de la CCI de grande efficacité. C’est un entrepreneur passionné qui transmettra la passion du travail bien fait à notre père Philippe qui lui succédera. Mais tout naturellement, père et fils travailleront pendant des années côte à côte et seront à la fois soudés et complémentaires. Le grand père sélectionne avec les fermiers les meilleures bêtes et notre père à la boutique sert, conseille et contribue à transmettre à ses clients son goût pour le produit sain et local qui participe au bien manger, à une alimentation saine. 

Ils seront remarquablement secondés par leurs épouses Mimie et Martine. 

Une passion et un savoir-faire qui se transmet

Le monde évolue, mais la transmission est essentielle : celle de la valeur et du goût du travail bien fait.

C’est donc tout naturellement, après une formation en cuisine pour Eve et une réalisation pour Elodie d’une envie toujours présente, elle est « tombée dedans quand elle était petite », que les deux soeurs ont pris ensemble, le chemin de la boucherie.

Elodie a appris à gérer la boucherie, elle choisit ses bêtes sous l’oeil encore avisé de Roland et elle apprend la découpe avec Philippe au fil des années.

Eve et sa cuisine aussi savoureuse que goûteuse a hérité de la mère de Roland, Gabrielle qui, déjà a l’époque pour subvenir aux besoins de sa famille, cuisinait chez des familles biterroises. Elle organisait même des repas pour des baptêmes et des communions, comme quoi elles ont ça dans le sang.